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DIVORCE ET DROITS DES PARENTS :EXERCICE DES DROITS: LES PERE ET MÈRE SONT-ILS ÉGAUX DEVANT LES TRIBUNAUX ?
Le 19 février 2013
DEVANT LA LOI, LES PERE ET MERE SONT EGAUX RELATIVEMENT AUX DROITS CONCERNANT LES ENFANTS.
CEPENDANT LES PARENTS NE LE PERCOIVENT PAS TOUJOURS ET TROUVENT SOUVENT "INJUSTES" LES DECISIONS DES JUGES AUX AFFAIRES FAMILIALES NOTAMMENT LORSQUE LA RESIDENCE DES ENFANTS EST FIXES CHEZ L'AUTRE PARENT OU ENCORE QUAND LES DROITS DES PERE OU MERE SONT LIMITES VOIRE SUSPENDUS.
LA LOI IMPOSE AU JUGE AUX AFFAIRES FAMILIALES DE SE SOUCIER DE L'INTERET DES ENFANTS. LE JAF DOIT DONC RENDRE UNE DECISION QUELQUE FOIS QUI POURRA CHOQUER LE PARENT QUI N'AURA PAS GAIN DE CAUSE, PARENT QUI AURA ALORS LE SENTIMENT D'ETRE DEFAVORISE VOIRE PRIVE DE SES ENFANTS.
LES EMOTIONS ET SENTIMENTS PERSONNELS FAUSSENT SOUVENT LA CAPACITE DE DISCERNEMENT DU PARENT DONT LES REACTIONS SONT SOUVENT DISPROPORTIONNEES PAR RAPPORT A LA REALITE DU DOSSIER.
SOIT QU'IL Y A DANGER POUR LES ENFANTS ET LE PARENT NE L'ENTEND PAS,
SOIT QU'IL Y A INTERET POUR L'ENFANT SANS NECESSAIREMENT QU'IL Y AIT DANGER IMMEDIAT MAIS LA DECISION S'INSCRIT DANS UN CONTEXTE VOIRE DANS UN PROJET A MOYEN OU LONG TERME VOIRE COURT TERME AUQUEL CAS IL SERA TOUJOURS POSSIBLE RAPIDEMENT DE REVENIR SUR LA DECISION RENDUE PAR LE JAF.
SOIT QUE LA SITUATION IMMEDIATE IMPOSE UN CHOIX QUI BIEN QUE DIFFICLE A ADMETTRE COMME OPPORTUN, L'EST. LE CHOIX EST LE MOINS DRAMATIQUE COMPTE TENU DES CIRCONSTANCES PROPRES AU DIVORCE.
IL FAUT CROIRE SOUVENT, EN DEPIT DES APPARENCES PEUT-ETRE, QUE LE JAF A VRAIMENT LE SOUCI DE L'INTERET DES ENFANTS ET CHACUN FAIT AU MIEUX ALORS MEME QU'IL SE PEUT EFFECTIVEMENT QUE LA VERITE SOIT PERVERTIE PAR L'UN OU L'AUTRE DES PARENTS.
DANS CE CAS L'AVOCAT DU DIVORCE DOIT TOUT METTRE EN OEUVRE POUR PEU QU'IL PUISSE REVELER LA VERITE POUR PERMETRE UN CHANGEMENT DANS LES MESURES QUI ONT ETE PRISES PAR LE JUGE AUX AFFAIRES FAMILLIALES.
EN EFFET IL ARRIVE QUE LA SITUATION PEUT ETRE TRONQUEE PAR LA PERVERSITE ET LE MENSONGE. LA CONSEQUENCE C'EST QUE LA VERITE DU DOSSIER ECHAPPE TANT AU JUGE AUX AFFAIRES FAMILIALES QU'AUX AUXILLIAIRES DE JUSTICE QUE SONT LES AVOCATS.
CETTE SITUATION EST D'AUTANT INDAMISSIBLE QU'INSUPORTABLE EU EGARD AUX ENFANTS QUI VONT SOUFFRIR D'UNE SITUATION QUI POURRAIT ETRE POURTANT EVITE.
POUR L'ESSENTIEL IL FAUT RECONNAITRE QUE SOUVENT LES PERE OU MERE DES ENFANTS PERDENT L'INTERET DES ENFANTS DANS UN CONFLIT QUE LA PASSION EMPECHE A BIEN COMPRENDRE CE QUI EST NECESSAIRE POUR LES ENFANTS MAIS EGALEMENT POUR EUX MEMES PARENTS DANS LEUR RELATION AVEC LES ENFANTS ET QUE SEUL LE TEMPS SOUVENT PERMET DE CLARIFIER.
CEPENDANT LES PARENTS NE LE PERCOIVENT PAS TOUJOURS ET TROUVENT SOUVENT "INJUSTES" LES DECISIONS DES JUGES AUX AFFAIRES FAMILIALES NOTAMMENT LORSQUE LA RESIDENCE DES ENFANTS EST FIXES CHEZ L'AUTRE PARENT OU ENCORE QUAND LES DROITS DES PERE OU MERE SONT LIMITES VOIRE SUSPENDUS.
LA LOI IMPOSE AU JUGE AUX AFFAIRES FAMILIALES DE SE SOUCIER DE L'INTERET DES ENFANTS. LE JAF DOIT DONC RENDRE UNE DECISION QUELQUE FOIS QUI POURRA CHOQUER LE PARENT QUI N'AURA PAS GAIN DE CAUSE, PARENT QUI AURA ALORS LE SENTIMENT D'ETRE DEFAVORISE VOIRE PRIVE DE SES ENFANTS.
LES EMOTIONS ET SENTIMENTS PERSONNELS FAUSSENT SOUVENT LA CAPACITE DE DISCERNEMENT DU PARENT DONT LES REACTIONS SONT SOUVENT DISPROPORTIONNEES PAR RAPPORT A LA REALITE DU DOSSIER.
SOIT QU'IL Y A DANGER POUR LES ENFANTS ET LE PARENT NE L'ENTEND PAS,
SOIT QU'IL Y A INTERET POUR L'ENFANT SANS NECESSAIREMENT QU'IL Y AIT DANGER IMMEDIAT MAIS LA DECISION S'INSCRIT DANS UN CONTEXTE VOIRE DANS UN PROJET A MOYEN OU LONG TERME VOIRE COURT TERME AUQUEL CAS IL SERA TOUJOURS POSSIBLE RAPIDEMENT DE REVENIR SUR LA DECISION RENDUE PAR LE JAF.
SOIT QUE LA SITUATION IMMEDIATE IMPOSE UN CHOIX QUI BIEN QUE DIFFICLE A ADMETTRE COMME OPPORTUN, L'EST. LE CHOIX EST LE MOINS DRAMATIQUE COMPTE TENU DES CIRCONSTANCES PROPRES AU DIVORCE.
IL FAUT CROIRE SOUVENT, EN DEPIT DES APPARENCES PEUT-ETRE, QUE LE JAF A VRAIMENT LE SOUCI DE L'INTERET DES ENFANTS ET CHACUN FAIT AU MIEUX ALORS MEME QU'IL SE PEUT EFFECTIVEMENT QUE LA VERITE SOIT PERVERTIE PAR L'UN OU L'AUTRE DES PARENTS.
DANS CE CAS L'AVOCAT DU DIVORCE DOIT TOUT METTRE EN OEUVRE POUR PEU QU'IL PUISSE REVELER LA VERITE POUR PERMETRE UN CHANGEMENT DANS LES MESURES QUI ONT ETE PRISES PAR LE JUGE AUX AFFAIRES FAMILLIALES.
EN EFFET IL ARRIVE QUE LA SITUATION PEUT ETRE TRONQUEE PAR LA PERVERSITE ET LE MENSONGE. LA CONSEQUENCE C'EST QUE LA VERITE DU DOSSIER ECHAPPE TANT AU JUGE AUX AFFAIRES FAMILIALES QU'AUX AUXILLIAIRES DE JUSTICE QUE SONT LES AVOCATS.
CETTE SITUATION EST D'AUTANT INDAMISSIBLE QU'INSUPORTABLE EU EGARD AUX ENFANTS QUI VONT SOUFFRIR D'UNE SITUATION QUI POURRAIT ETRE POURTANT EVITE.
POUR L'ESSENTIEL IL FAUT RECONNAITRE QUE SOUVENT LES PERE OU MERE DES ENFANTS PERDENT L'INTERET DES ENFANTS DANS UN CONFLIT QUE LA PASSION EMPECHE A BIEN COMPRENDRE CE QUI EST NECESSAIRE POUR LES ENFANTS MAIS EGALEMENT POUR EUX MEMES PARENTS DANS LEUR RELATION AVEC LES ENFANTS ET QUE SEUL LE TEMPS SOUVENT PERMET DE CLARIFIER.
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